En était la reine venait de demander a Louanne si elle voulais venir le
soir chez sa cousine la princesse en ajoutant le fait de s'habiller en
violet pour énervée la princesse .Elles avaient attendues la réponse en
souriant ;la jeune fille avais parut troublée et n'avais pas répondue la
reine avait alors annoncée que son cousin le compte Axel von Ferséne
arriverait le lendemains et qu'il faudrait préparée une fête .
elle dit alors :-Qu'en pensez-vous Louanne ?

a vous

Je n'avais pas fait attention à ce que disait Sa Majesté. J'étais plongée dans ma rêverie, pleine de tapisseries, de belles robes et de lits à baldaquins. "Ressaisis-toi!" me dis-je, "Sa Majesté te parle!" Elle répéta donc. Avant de répondre, je réfléchis, puis je dis :
-Oh...Euh...Oui, bien sûr, Majesté. C'est une très bonne idée. Il sera ravi, je pense, non? L'appréciez-vous? Et vous, Mme de Valuisant, qu'en pensez-vous?

La reine demanda a inviter la jeune fille chez sa cousine puis annonça l'idée de faire une fête. A cette dernière idée je tapais dans mes mains en rigolant comme une enfant.

-Oh, oui une fête qu'elle idée merveilleuse.

Louane répondit a son tour et me posa une question. Pour plus de politesse je me tournais vers elle et la regardais. J'avais toujours mon sourire aux lèvres et lissais ma robe car elle était froissée. Je toussotais pour reprendre contenance.

-Moi ? Le comte de Fersène me plait assez. Il a de l'esprit et est très beau !

Louise me répondit, tout sourit comme jamais. Comme réponse, je dis :
-Oh, moi, je ne le connais point, mais, si vous le dîtes, je dois faire confiance à une peinture me prouver ce que vous avancez?
Comme nous étions debout, je commençais à avoir mal aux jambes. Je crois que Louise perçut mon trouble, car elle me dit...

Je me dirigeais vers ma commode. J'en sortis un petit portrait. La dernière fois que Alex était venue il me l'avait offert. Je me retournais pour le montrer a la jeune Duchesse mais je vis qu'elle regardait ailleurs et se tortillait comme un asticot.

-Mademoiselle, voulez-vous un fauteuil ?

Je me tournais comme une flèche et demandais a une demoiselle de compagnie de m'amener une chaise. Celle-ci ne tarda pas et quelques secondes plus tard Louanne était assise confortableent sur une de mes nombreuses chaises en bois de chêne. J'en proposait une a la reine et moi même je m'assit.

-Alors très cher, qu'elle âge avez-vous ?

La reine ignorait la discusion et s'écria :
-regardées la lettre de mon cousins!

La grande baronne me
demanda mon âge. Ma timidité tomba d'un coup. Je commençais à aller
mieux depuis qu'elle avait remarqué que je serai mieux assise. Je ne
tardai pas à lui répondre.
-Merci. J'ai 20 ans, madame. Vous me semblez forte sympathique, madame.

Soudain, je me rendu compte de ma curiosité, et j'en rougis. Je m'excusais du mieux que je pus.
-Veuillez bien m'excuser de ma curiosité, tout est si...nouveau pour moi.

C'est alors que la Reine brandit une lettre devant nous, et nous en lûmes le texte.
Je m'écriais alors:
-Que c'est romantique!

La Reine sourit en entendant ces mots.

Louanne rougit de ses parole qu'elle trouvait indiscrètes a mon égard. je lui tapotais gentillement la main. Je la détaillais et trouvais ces cheveux d'un doré assez étrange car il penchait parfois vers le roux. revenant a moi je la regardais dans les yeux.

-Non, point très chère. Posez toutes les questions que vous voulez.

Puis la reine poussa un cris de joie. Elle nous tendit une lettre parfumé a la rose. C'était Alex. J'eu un pinçement au coeur en voyant tout ces mots doux adréssaient a Solenn. Je tournais tête faisant mine de regarder par la fenêtre.

-Alors que contez-vous faire, ma Reine ?

Je remarquais dans le regard de Louise une pointe de jalousie. A mon avis, elle en pince pour cet Axel, je m'en doute! Ah...les histoires d'amour...J'ai toujours adorée cela....J'en ai eu une, avant de venir à Soland. Mais quand j'ai annoncé la nouvelle de mon déménagement, il n'a pas voulu me suivre....Je désespère...Sans m'en rendre compte, une larme commença à couler sur ma joue. Puis une autre...Jusqu'à ce que je me mette à pleurer comme une madeleine.

Louanne commença a pleurer. Je m'inquiétais et lui pris la main et la serrais fort. Je cherchais du regard de l'aide mais personne ne m'aida.

-Louanne pourquoi tant de larmes ?

Je me mit a genoux en face de la demoiselle. Je cherchais du regard un de ses yeux mais elle les cachait avec sa longue main blanche et fine.

Louanne se mise soudainement a plerais la reine lui donna un mouchoir et montra alors au deux jeunes filler les roes qui était déstinée a louise pour les 20 jors de fétes suivant l'anivessaire de la reine.

-Louanne je vous trans métrait la votre plus tard.


la voilas :

Le reine tendit son mouchoir a Louanne et se dirigea vers ma garde robe. elle en sortit plusieurs absolument magnifique. J'en au les larmes aux yuex et je sortis a mon tour mon mouchoir. J'essuyais doucement mes joues puis en signe de respect de remerciement je baisais la main de ma reine. Je me relevais doucement en gardant la tête baissait.

-Madame, je vous en remercie grandement et je ne pourrais vous rembourser.

Je fis une petite révernce et me rassis sur mon siège car ma lourde robe me pesait. Je rangeais mon mouchoir dans mon corset et repris un beau sourire.

La Reine et Louise perçurent mon trouble et me demandèrent ce qui se passait. La Reine me tendit un mouchoir que j'eu peine à prendre. Je n'osais en parler, mais je commençais finalement à dire:
-Voilà : avant d'arriver à Soland, j'habitais dans une autre ville. J'avais une belle et merveilleuse histoire d'amour. Mais ce bel amour n'a pas voulu me suivre...De ce fait, j'en meurs de chagrins. Et cet homme qui vous aime, Majesté, cela me rappelle l'homme que j'aime toujours...

ma pauvre jeune fille pensât la reine puis elle s'adrssa a Louise
-Je vous interdit de me rembourser ma chére !!!
puis elle tombât dans les pommes elle dit dans un souffle d’envoyée vite une missive a Axel et d’appeler le médecin puis elle s'endormit.

Je pris Louanne dans mes bras pour la consoler tandis qu'elle se tamponnait les yeux avec son mouchoir. Je lui disais des paroles douces et j'espérais, un peu revigorantes. Puis la Reine se mit à me commander de ne pas la rembourser ce que je trouvais insoutenable. J'allais lui dire qu'il fallait que je lui rende son argent quand, elle tomba en pâmoison. Pendant qu'elle tomba elle nous demanda d'envoyer une lettre à Alex.

-Vite allaient chercher un médecin, non d'un chien !

Puis je me mis a genou auprès de ma reine, lui faisais respirer des sels et l'éventais de mon mieux. Elle se réveilla avant que le médecin arrive et je la serais directement dans mes bras. Me rendant comte de mon impolitesse et je me reculais.

-Apportez-moi un écritoire et laissais nous seul avec la Reine. Louanne restez.

Je commençais à me calmer. La Reine, comme pour changer de sujet, nous montra sa robe à elle, et celle de Louise, pour la fête. La Reine me promit de me montrer la mienne plus tard. Tandis que Louise lui promettait de la rembourser, la Reine tomba en pâmoison. Elle se réveilla bientôt grâce à Louise, qui lui agitait des sels sous le nez. Le médecin arriva, mais pour rien. La Reine fit demander un écritoire pour écrire une lettre à son cher cousin. Je me demande bien ce qui a pû provoquer le malaise de Sa Majesté...Je ne pense point que ce soit le fait que Louise veuille la rembourser... Je réfléchis également. Je m'assis de nouveau sur une chaise. Soudain, je crus voir l'homme que j'aime depuis toujours...Je criais :

-Yann, Yann! C'est vous?! Venez ici! Ne fuyez pas! C'est moi, Louanne, votre...

Sa Majesté et Louise me regardèrent étonnées. J'eus un malaise...Lorsque je me réveillais, j'étais dans mon lit, brûlante de fièvre...

La reine était tombée en pâmoison cela confirma sa crainte qu'elle avais depuis longtemps: elle était enceinte !!! .Mais grace au bon soint de louise elle se réveilla bientôt on entendit alors Louanne criée

-Yann, Yann! C'est vous?! Venez ici! Ne fuyez pas! C'est moi, Louanne, votre...

Elle tombât alors en pâmoison Louise et la reine la portèrent dans son lit .La reine lui prépara une tisane qu'elle lui fit avaler doucement ,puis elle prie Louise a part et lui avoua tout .

-Louise je vous doit la véritée et bien voilas vous savée qu'il y a trois mois mon cousin est venue et je suis tonbée encinte !!

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